SALIES de BEARN 64270 ( 4 )
« Ce sanglier, poursuivi, se réfugia dans un marais bourbeux où il fut blessé par les chasseurs. Il s’élança sur le coup et alla mourir au loin. On le suivit et on le trouva couvert de cristaux de sel produits par l’évaporation de l’eau de ce bourbier. C’est à cette découverte que la ville de Salies de Béarn doit son origine….. »
http://www.salies-de-bearn.fr/fr/salies-de-bearn/son-histoire
Plaque commémorative des sources salées, datant de 1927.
À Salies-de-Béarn, l’histoire du sel a inspiré de nombreux artistes ; leurs œuvres en sont aujourd’hui les témoins.
De nos jours la fontaine du sanglier, nichée dans un angle de la place du Bayaà de Salies-de-Béarn, date de 1927.
Cette fontaine à la sculpture de tête de sanglier est devenue l’emblème de la ville.
Au-dessus de la tête sculptée de l’animal, on peut lire ces mots gravés en gascon (béarnais) : « Si you nou eri mourt, arres n’y bibéré » (Si je n’y étais pas mort, personne n’y vivrait) ». (Extrait du livre « Salies-de-Béarn, Cité du Sel » de Jean Labarthe)
http://www.sel-salies-de-bearn.com/le-sel-de-salies-de-bearn/salies-et-les-salines/
Au fil des millénaires, la source salée a été l’objet de nombreuses injustices, vexations et violations de droit qui lui ont valu le surnom local de « prauba muda » (pauvre muette) : témoin muet de cette histoire.
Le sculpteur Jean-Lucien TISNE lui a donné corps en 1875.
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A SUIVRE